Ludo,
-Je vais parler en mon nom et en celui de Steeve, mais je pense que ça fera écho pour chacune des personnes présentes. J’ai entendu et vu tant de beaux témoignages te concernant, les belles personnes laissent de bons souvenirs…
-Ce que nous gardons de toi, c’est ton sourire, ta gentillesse, ta bonne humeur et même tes coups de gueule qui t’allaient si bien… sans oublier ton sens de la vanne et tes inévitables blagues dites « courteiliennes » avec notre bande d’inséparables à qui tu manques cruellement…
-Ta voix raisonne encore chaque jour dans nos oreilles, toi à qui on demandait si souvent de parler moins fort… Ces dernier mois on ne demandait qu’à t’entendre, même pour râler si tu voulais ! Au fond on aimait trop ça ! Notre râleur au grand cœur !
-Tu aimais la vie, tes amis, ta famille, le sport, les voitures, le bricolage, et bien sûr l’apéro !
-Toujours un truc à faire, tu ne t’arrêtais jamais… Toujours présents pour nous, et disponible pour nos filles qui réclament encore ta fameuse imitation de Donald et ton tagada tagada imparable…
-On t’appelait pour nos joies, pour nos peines, pour nos galères, nos bonnes nouvelles et nos questions… Toujours là, à la rescousse, tu savais qu’on était aussi là pour toi, pour vous. Tu étais un homme incroyable, comme on n’en fait plus…
-Depuis tant d’années tu étais le meilleur ami de Steeve, plus que ça, un frère, un vrai… tu es naturellement devenu le mien. Ton arrivée triomphale en cocc’ lors de notre mariage reste dans les anales… nos nombreuses escapades et autres bons moments partagés nous manquent déjà tellement… Ce dernier week-end d’insouciance en avril ne nous présageait pas les mois qui ont suivis.
-Tu es parti trop vite, trop tôt, trop jeune… Tu laisses un vide gigantesque dans nos vies et nos cœurs.
-Ton départ est cruel mais il aurait été égoïste de vouloir te garder dans cette souffrance… Tu mérites de retrouver la douceur et la sérénité.
-Nous avons encore tant de mal à réaliser, cela semble si irréel, il faut pourtant te laisser t’envoler…
-Victor Hugo disait : « Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis », c’est exactement ça… Tu vivras toujours dans nos souvenirs et dans nos cœurs.
-On t’aime à tout jamais Lulu, et surtout pars en paix, car même si on ne pourra pas te remplacer, nous serons toujours là pour Ta Véro, pour Melvin, Emeline et Valentin, tu peux compter sur nous !